•• Cette semaine sur Tënk – L’Égypte, l’uranium et huit papillons
26 janvier 2024
« Il y a bien des hommes qui portent des shorts ! »
« Il y a bien des hommes qui portent des shorts ! »
C’est vrai ça, les usines, on ne les voit plus.
On s’interroge : quelle image avons-nous des Palestiniens ?
Peut-être a-t-on besoin d’espace et de silence en ce début d’année.
Il y avait des sortes de géants dans la plaine. C’étaient des géants à têtes d’enfants. Certains encore à quatre pattes, d’autres fièrement relevés, d’autres encore tout juste naissant.
D’abord, deux raisons de faire le tour du monde : se questionner sur l’existence du temps ou s’intéresser aux chaises en plastique.
Le « dialogue israélo-arabe », ça ressemble à une expression toute faite entendue à la radio.
Dans quelques jours, Dubaï (qui a le plus grand gratte-ciel du monde avec 828 mètres de haut – quelle prouesse admirable !), accueillera la COP28. Elle sera présidée par le Sultan Ahmed al-Jaber, ministre de l’industrie et des technologies avancées des Émirats Arabes Unis et PDG du groupe Abu Dhabi National Oil Company.
464 748 pages de 19 899 cahiers ont été remplies de doléances lors du grand événement démocratique que fut le Grand Débat National (avec des majuscules) en 2019.
Le 3 novembre 1957, Laïka, petite chienne errante moscovite, est envoyée dans l’espace à bord du Spoutnik 2, devenant ainsi le premier être vivant à quitter l’atmosphère terrestre.
Si vous n’avez jamais construit de gratte-ciel ou de haut-fourneau, notre sélection de la semaine est pour vous.
« Modère, ô Déesse, modère des cœurs enflammés, modère à nouveau l’audacieux enthousiasme. Répands sur la terre cette paix que tu fais régner dans le ciel »
Cette semaine, la Cinémathèque française inaugurait une grande exposition consacrée à Agnès Varda, Viva Varda ! (à voir jusqu’au 28 janvier 2024), mettant à l’honneur cette cinéaste essentielle.
Commençons dans un taxi à New York. Ça fait toujours bien.
Qu’est-ce que c’est, « nous » ? Ça peut être par exemple des gens qui habitent tout le long d’une ligne de chemin de fer.
Des choses arrivent dans nos vies et c’est comme un ouragan : l’amour (a tout emporté), la rencontre (avec les autres et avec soi-même), la peur (des autres et de soi-même), ou parfois tout simplement un ouragan, un vrai, avec ses pluies et ses vents et tous ses bouleversements.
Il y a des gens qui résistent, qui désobéissent, qui se rendent coupables, qui se dénoncent. Il y a la loi, qui est parfois celle du plus fort. Il y a la morale, et c’est autre chose. Il y a le pouvoir qui domine et oppresse. Il y a des vies écrasées par les mouvements de l’histoire. Alors il y a des hors-la-loi.
Entre les images, sur la pellicule, sur les bandes magnétiques, au cœur des disques durs, des images peuvent parfois se cacher, qu’on ne veut pas voir, qu’on tente de cacher, logées là par le passé, par nos obsessions, par nos regards bizarres. Parce qu’on a tous des regards bizarres.
Ce dimanche s’ouvrira à Lussas, en Ardèche, la 35e édition des États généraux du film documentaire.
Vous êtes-vous déjà demandé quel bruit produirait un micro mangé par un chien ? À quoi ressemblent des sons enregistrés sous l’eau, dans une baignoire inclinée ? Ou encore, à quoi ressemblerait une adaptation de la théorie des cordes par un orchestre symphonique accompagné d’un chœur ?