2 minutes avec Jimmy
31 août 2018
Jimmy Deniziot, programmateur de la Plage Premières Bobines, vous présente “Au pays des oranges tristes” de Dhia Jerbi (26 minutes, 2018).
Jimmy Deniziot, programmateur de la Plage Premières Bobines, vous présente “Au pays des oranges tristes” de Dhia Jerbi (26 minutes, 2018).
Cette semaine, nous vous donnons la parole, à travers quelques messages d’abonné·e·s qui nous ont émus, fait rire et réfléchir…
Jean-Marie Barbe, co-fondateur des États généraux du film documentaire et de Tënk, vous présente Tan de Elika Hedayat (71 minutes, 2017).
Tënk lance un appel à candidature pour devenir juré·e. Puisque nous savons que parmi nos abonné·es se cachent de nombreux·ses cinéphiles, nous vous proposons de faire partie du jury chargé de choisir 3 à 5 films qui seront un jour visibles sur la plateforme !
À la lisière, Dans leurs rêves, Le kiosque, ces titres ne vous disent probablement rien, mais ils cachent de futurs films documentaires à découvrir sur Tënk en 2019 grâce à des partenariats !
Sylvain Bich, programmateur de la Plage Cinéma de cinéma, nous présente “Rude Boy” de Jack Hazan et David Mingay (98 minutes, 1980).
Nous vous avons raconté dans les deux billets précédents notre environnement professionnel. Nous partageons aujourd’hui avec vous notre volonté de montrer des films rares, autant pour leurs qualités cinématographiques que pour le manque de visibilité que ces films et ce genre connaissent.
Derrière le site de Tënk, il y a toute une équipe technique et éditoriale ! Cet été, les programmatrices et les programmateurs se prêtent au jeu du tournage champêtre pour partager avec vous leurs films coups de cœur. Éva Tourrent, responsable artistique, nous parle de “Ce cher mois d’août” de Miguel Gomes (144 minutes, 2008) !
Initiée la semaine passée avec un premier billet consacré à l’histoire et à l’écosystème du Village documentaire de Lussas, notre série continue… Comment ça se fabrique un documentaire ?
Le week-end dernier, nous avons célébré le deuxième anniversaire de la mise en ligne de Tënk. Si la plateforme a pu voir le jour, notamment à Lussas, petit bourg de 1 000 habitant·e·s, c’est que le terreau était ici fertile !