Avec le soutien du département de l’Ardèche, afin de soutenir la création documentaire locale, Tënk propose pour la 4ème année, un appel à projets de documentaires d’auteur·rices.
Les films soutenus bénéficieront d’un préachat de droits de diffusion de la part de Tënk, sous la forme d’un apport en numéraire de 1 050 € HT, et d’un apport en industrie déterminé en fonction de la durée et des besoins du film ( à hauteur de 13 000 € HT).
Pour retrouver les détails de l’appel à projets, rendez-vous ici
[image : “Un café allongé à dormir debout” de Philippe de Jonckheere, Triptyque Films]
“Un café allongé à dormir debout” de Philippe de Jonckheere
Production : Triptyque Films
Résumé : À l’hiver 2019, pour surmonter ma douleur paternelle, j’ai filmé l’hospitalisation contrainte de mon fils Nathan, au seuil de son incertaine entrée dans l’âge adulte. Dès les premières visites, et surtout à cause de leur caractère parfois hostile ou tout bonnement vide, j’ai pris le parti de filmer de petites séquences de trente secondes, parfois plus, parfois une minute, à l’aide de mon téléphone de poche. Je ne filmais pas nécessairement Nathan, d’ailleurs, mais beaucoup son environnement. Et plus je regardais, plus je voyais s’inventer un monde.
“Evy et moi” de Hélène Bares
Production : Les Films de la Pépinière
Résumé : C’est la fin de l’été et pour éviter une rentrée chaotique, je vais me réfugier chez ma cousine Evelyne à Annemasse. Elle a 60 ans et elle est aujourd’hui aveugle. Quand des punaises de lit et des blattes germaniques décident d’envahir son immeuble, c’en est trop. Alors, sans argent, sans voiture et avec pour seuls bagages des sacs la Halle aux vêtements on décide de partir à l’aventure !
“Deuxième nuit à Séoul” de Aurélien Mélior
Production : Les Films de la Pépinière
Résumé : Le temps d’une nuit, je traverse et découvre les rues de Séoul avec pour seul guide de voyage, le journal intime d’une petite fille, celui de Jung Yoon, ma femme, lorsqu’elle avait 8 ans. Se dessine alors un portrait croisé de cette mégalopole, par le regard naïf de cet enfant de la fin des années 1980 et le mien, adulte et étranger, aujourd’hui