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ÉPISODE #5 : Mots doux

28 août 2018

 

Les États généraux du film documentaire viennent de se terminer ici à Lussas.

Ce fût une semaine intense au cours de laquelle nous avons pu discuter avec nos abonné·e·s et en rencontrer de nouveaux. C’est toujours l’occasion d’échanges enrichissants sur les films et les usages que chacun fait de Tënk.

Nous sommes heureux d’entendre ou de lire vos retours, vos impressions, vos critiques parfois. Ces échanges ont jalonné nos deux ans d’existence et nous permettent de réfléchir à notre travail. Ils nous confirment la nécessité du projet que nous portons, et nous encouragent à continuer sur notre lancée.

Cette semaine, c’est donc à vous que nous donnons la parole, à travers quelques messages d’abonné·e·s qui nous ont émus, fait rire et réfléchir…

 

 

“Tënk illumine mes soirées d’hiver !
Merci à vous,
Julie”

 

“Formidable cadeau…Très fort sentiment d’accéder à quelque chose de rare, précieux, inouï, en ouvrant Tënk et en m’y baladant…

Accès simple. Sans images ou textes qui polluent notre regard, nous sollicitent, nous vendent le faux possible accès à tout !

Ici, juste du cinéma, des films, une invitation à se faire, collectivement et pour soi, une collection de films… Comme une grotte Chauvet à découvrir, et qui serait ouverte à tous… Merci, merci beaucoup !”

 

 

“Merci Tënk !
Merci pour votre intelligence collective qui nous rend individuellement plus intelligents.
Delphine”

 

 

“On aime toujours comprendre ce qui déclenche la pulsion d’abonnement, je te partage ma propre expérience d’utilisateur, toute fraîche.

Jusqu’à ce matin, je ne m’étais pas encore abonné. Et ce matin, avant d’aller au marché, je zone dans la plage « Fragments d’une œuvre ».

Tiens, “Le Secret”, une histoire de mère disparue. Je le regarderai avec ma compagne, qui écrit justement un roman sur l’amnésie, thème voisin.

Tiens, la même Marianna Otero a fait un doc sur la télé commerciale portugaise. Allez hop, cette fois je sors la carte de crédit, et c’est parti pour un an. Je suis en train de le regarder : comment avais-je pu rater ça ? Limite faute professionnelle. Formidable doc !

Bien joué. Vous m’avez eu.”

 

“Manon*, ma chérie,

Il va falloir être forte. Je reviendrai peut-être, mais pour le moment, je pense qu’il nous faut faire une pause.

J’aime tes films, mais mes projets sont prenants. J’ai toutes les peines du monde à trouver le temps d’en regarder, ces derniers temps.

Il serait illusoire, voire hypocrite, de prolonger cet abonnement et ne plus visionner que rarement des films, en pensant déjà à autre chose. Ce n’est pas pour les 6 euros par mois, tu me connais, mais pour être clair avec toi.

Tu trouveras d’autres abonnés, j’en suis sûr, car tu en vaux vraiment la peine. Ce n’est pas toi qui est en cause, Manon, ce sont les circonstances.

Merci pour tous ces moments de bonheurs qui restent gravés dans mon cœur, et m’aident à respirer dans ce monde trop souvent ‘surglituré’.”

* Manon Hubert, alors en charge des relations abonné·e·s

 

 

“Merci pour votre travail et ce site, j’ai l’impression d’être tombée sur la caverne d’Ali Baba. Tant de trésors… Bonne continuation !
Cordialement,
Emmanuelle”

 

 

“Très chers animateurs,

Pour quelqu’un comme moi, documentariste plus ou moins à la retraite et retirée loin des villes, cette incroyable manne de films dans laquelle chaque semaine je puise avec gourmandise, retrouvant des incunables et découvrant des merveilles, anciennes ou récentes, est quelque chose d’incroyable. On savait le cinéma documentaire riche de tous les possibles et vous en donnez chaque semaine la preuve.

Oserais-je une critique ? C’est presque trop. Même un retraité à plein temps, ce qui n’est pas mon cas, n’arriverait pas à tout voir dans le temps imparti. Donc modérez vos ardeurs et laissez aux spectateurs le temps de vraiment apprécier les œuvres.

Et dans tous les cas, bravo !

Amitiés,

Catherine”

 

 

“Bonjour à toute l’équipe de Tënk et bravo pour votre boulot, vous sauvez bien des âmes de la décrépitude et de l’ennui ;)”

 

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Crédit dessin : © Tom Joseph – Florie Keller – Atelier Noir Cambouis